Le testament d’Alain Gerbault. Son chant d’amour à la Polynésie. Et le plus terrible des réquisitoires — ne voulait-il pas lui donner le sous-titre « Sous la civilisation blanche sans merci » ? Il lui consacra ses dernières années, ses dernières forces : dresser une stèle, un mémorial à la culture polynésienne qui mourait…
Je remarquai avec étonnement tous les changements qui s’étaient opérés partout, non seulement depuis ma première visite, mais même depuis mon départ pour le Chili, dans une courte absence de quatre mois. Le commerce des îles s’étendait graduellement. Je lui avais moi-même imprimé quelque mouvement, par la construction d’une goélette,…