Un matin d’automne, Antoine Bertrandy s’est arraché à son confort francilien pour s’élancer dans le sillage des pèlerins aspirés vers le mystère de Saint-Jacques. Courbé sous le poids de son sac et de ses attentes, il a relié Compostelle depuis Saint-Jean-Pied-de-Port en empruntant le Camino Réal Francés. Dans le décor…