En cet après-midi d’avril 1982, Kaia rentre de l’école. Sa grand-mère l’attend, assise sur la véranda. Ma Taffy n’y voit plus mais elle sait reconnaître l’odeur entêtante de la calamité. On a coupé les dreadlocks de Kaia — sacrilège absolu chez les rastafaris, qui se règle par le feu et…