C’est par la mer, idéalement, qu’il faut arriver à Bonifacio pour la première fois. Sillonner la crête huileuse des vagues, devant cette pâle muraille inexpugnable, chercher la faille. Porter sur le cuirassier blanc le regard carnassier, fiévreux et amoureux, concupiscent, exigeant, jaloux et délirant des Barbaresques, des pirates, des Pisans,…