À Beyrouth, au début des années 70, Nahida Nakad faisait partie d’une bande de copains joyeuse et insouciante dans le quartier de la Galerie Semaan, un magasin de meubles situé à la frontière des quartiers chrétien et musulman. Il y avait là tout l’arc-en-ciel des confessions libanaises : Alex le chrétien maronite,…