Rosie Pinhas-Delpuech, née à Istanbul, est l'un des rares écrivains turcs de langue française, sa « langue père ». Car elle n'a pas de « langue mère », écrit-elle dans Suite byzantine, la première partie de ce livre. Ni le judéo-espagnol, « domestique », des femmes de sa famille, ni l'allemand de sa mère, « greffe contre…