En 1904, quelques mois avant sa mort dans une crue de l’oued à Ain-Sefra, Isabelle Eberhardt, fatiguée par une série d’épreuves, se réfugie dans le havre de paix de la zaouïa de Kenadsa. Dans cette retraite où elle se fait passer pour un jeune étudiant pieux, elle prend le temps…